Massacre des Civils a Goma DRC pour satisfaire Antonio Guterres le Secretaire General des Nations Unies?
Communique sur le crime contre l’Humanité commis envers les membres du groupe de la secte Mystico-Religieux du Prophète Bisimwa Ephrem par les services de sécurité à Goma en date du 30/08/2023 : Nous demandons des sanctions sévères contre les auteurs de ce crime.
Rappelant que chaque Congolaise et Congolais qui aime son pays est Muzalendo (Patriote) dans sa manière, nous sommes préoccupés par le discours et les actes de haine et d’intolérance contre ceux-là qui revendiquent être des Mazalendo à travers leurs idées, opinions et convictions religieuses.
Conscient de la légitimité des revendications qu’incarnent ce groupe Mystico-Religieux pour demander le départ de la MONUSCO, de la Force EAC, des organisations Internationales occidentales, qui entre dans le cadre de la libre expression, de penser et d’association, les Congolaises et Congolais qui croient à l’échec de ces acteurs ne doivent pas être tués comme des animaux dans une boucherie. Cette culture qu’on impose depuis l’année passée quand des jeunes Congolais ont été massacrés lors de la marche anti-MONUSCO juste pour protéger des véhicules et des biens de la MONUSCO devrait prendre fin.
Observant le caractère pacifique et non-armé des fidèles de ce secte, qui d’ailleurs ont été sanctionnés et réprimandés avant même qu’ils commettent des prétendus crimes, ce massacre contre des personnes animatrices des émissions qui seraient dans un studio de la radio et des fidèles de la secte qui seraient dans une Eglise constitue un crime contre l’humanité,
Nous sommes inquiets de la banalisation de la vie des Congolaises et Congolais tués juste pour protéger la présence des étrangers sur le sol Congolais opérant dans la MONUSCO, la force EAC, et dans des organisations Internationales, qui en principe doivent nous rendre compte alors que cela viole le principe de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme de l’égalité de tous. Alors que les Congolais ne s’attaquent pas à ces étrangers mais plutôt les Congolais demandent seulement le départ de ces étrangers et la fin de leurs services en RDC.
Circonstances avant le massacre
Pendant les mois passés cette secte organisait des manifestations non-violentes à Goma et surtout au quartier général de la MONUSCO à Goma, ceci a poussé le Secrétaire Général des Nations Unies Monsieur Antonio Guterres à faire une déclaration médiatique montrant que ce groupe est un danger et avait appelé le gouvernement Congolais à prendre des mesures strictes contre ce groupe. Cet élément nous parait très important pour bien comprendre à qui ce massacre profite réellement.
Nous demandons au Gouvernement Congolais de prendre dans le plus vite possible des mesures pour sanctionner les auteurs directes et indirectes de ces crimes contre l’Humanité, de garantir aux Congolaises et Congolais le droit de la libre expression et d’exiger des résultats aux gens qui revendiquent sont venus nous apporter la paix. Le constat est claire, la présence de la MONUSCO, de la Force EAC et les organisations internationales surtout à l’Est de la RDC n’a pas porter l’espoir de la paix longtemps rechercher par la population. Demander le départ de ces agences ne devrait pas couter la vie des citoyens congolais et en même temps on ne devrait pas imposer ces agences à la population Congolaise.
Nous demandons la libération immédiate et sans conditions de toutes les personnes arrêtées ainsi que l’urgence de dommage à toutes les familles dont leurs membres ont été assassinés dans la journée du 30/08/2023 à Goma,
La Coordination
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